Faire des cosmétiques clean, c’est très bien. Mais le clean ce n’est pas qu’une question de formule débarrassée des « ingrédients polémiques » comme on entend un peu trop souvent. J’en parle dans mon dernier article…
Je me rends compte que depuis tout ce temps, je n’ai jamais vraiment écrit un article sur la clean beauty, peut-être parce que ce concept est devenu une tarte à la crème rance et que « ça me saoule ». Eh oui, je ressens de moins en moins de sincérité derrière ce « concept ». Car oui, c’est avant tout un concept, à défaut d’être un label.
Dans ce second volet, suite des questions de followers et d’auditrices. Avec Marie, on revient sur le « mystère » pas si mystérieux des noms en -ène, la réglementation des kits de DIY cosmétique, les copper peptides, les produits qui peluchent etc. Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de le faire, je vous conseille d’écouter d’abord le volet 1.
Aujourd’hui, je reçois Marie Dehlinger, spécialiste en sécurité et réglementation cosmétique et surtout ultra fan de beauté. Qui de mieux pour répondre à vos interrogations ?
Aujourd’hui, on parle hygiène sur Beauty Toaster. Pour Pascale de Lomas, la co-créatrice de Biosme, tout a commencé avec une histoire de sueur et de flore bactérienne. L’idée était de concevoir une formule de déo plus clean, alternative au déodorant classique et à l’anti-transpirant avec sels d’aluminium.
Avant, quand je travaillais dans la presse féminine, la femme idéale en couverture était forcément blonde au yeux bleus, et mince et jeune. Pas question de mettre un autre type en avant au risque de faire moins de ventes. La blonde « ça vendait mieux » que la brune ; la rousse, c’était hors de question ; quant à la noire, l’orientale ou celle aux yeux bridés, c’était même pas la peine d’y penser. Chronique d’un racisme ordinaire au pays de la beauty…
Agathe et Charline sont pharmaciennes de formation et passionnées de cosmétiques. Un jour, elles décident de se pencher sur la problématique du rouge-à-lèvres. Formules pas clean, étuis en plastique non recyclable, bref rien de très glorieux derrière le produit phare du maquillage.
Trop de soins tue… la peau. Ok, dit comme ça, ça peut paraître un peu extrême, mais c’est vraiment la réflexion que je me suis faite quand j’ai vu les commentaires à l’un de mes posts Instagram. Ce post, je l’ai publié le vendredi 15 mai. Il parlait du fonctionnement nocturne de la peau. Et je terminais en demandant : « Et vous, c’est quoi votre routine beauté du soir ?
C’est en voyant sa mère transvaser ses vernis les uns dans les autres pour ne pas avoir à jeter à la poubelle des flacons encore remplis que Maëva a eu l’idée de créer un pinceau malin. Mais en plus du gâchis, il y avait d’autres problèmes à régler : la toxicité des vernis rejetés dans la nature et l’absence de propositions pour des flacons recyclables.
Aujourd’hui, je vous emmène à la découverte d’une jolie marque belge. Créée par un coiffeur réputé et son épouse esthéticienne, Roger et Marion Delbôve, la marque éponyme a vu le jour à la fin des années 60. Pas toute jeune, certes, mais tellement en avance sur son temps.