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Chantal Soutarson

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Je me rends compte que depuis tout ce temps, je n’ai jamais vraiment écrit un article sur la clean beauty, peut-être parce que ce concept est devenu une tarte à la crème rance et que « ça me saoule ». Eh oui, je ressens de moins en moins de sincérité derrière ce « concept ». Car oui, c’est avant tout un concept, à défaut d’être un label.

Dans ce second volet, suite des questions de followers et d’auditrices. Avec Marie, on revient sur le « mystère » pas si mystérieux des noms en -ène, la réglementation des kits de DIY cosmétique, les copper peptides, les produits qui peluchent etc. Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de le faire, je vous conseille d’écouter d’abord le volet 1.

Avant, quand je travaillais dans la presse féminine, la femme idéale en couverture était forcément blonde au yeux bleus, et mince et jeune. Pas question de mettre un autre type en avant au risque de faire moins de ventes. La blonde « ça vendait mieux » que la brune ; la rousse, c’était hors de question ; quant à la noire, l’orientale ou celle aux yeux bridés, c’était même pas la peine d’y penser. Chronique d’un racisme ordinaire au pays de la beauty…

Trop de soins tue… la peau. Ok, dit comme ça, ça peut paraître un peu extrême, mais c’est vraiment la réflexion que je me suis faite quand j’ai vu les commentaires à l’un de mes posts Instagram. Ce post, je l’ai publié le vendredi 15 mai. Il parlait du fonctionnement nocturne de la peau. Et je terminais en demandant : « Et vous, c’est quoi votre routine beauté du soir ?