Episode 42. Sortir de sa zone de confort. Voilà une expression qui caractérise bien l’action de Lucia Iraci. Arrivée toute seule de sa Sicile natale pour retrouver sa soeur à Paris, elle apprend la coiffure, puis décide de travailler sur les shootings et les défilés pendant plusieurs années, avant d’ouvrir son premier salon.
De la nécessité de ménager son plancher
Non, non, on ne va pas parler parquet, ahahah ! Honnêtement si on m’avait dit il y a quelques mois que je ferais un post sur le périnée, j’aurais répondu « Never ». Mais, on vit une époque formidable (merci la parole qui se libère et la Journée Mondiale de l’Orgasme #24décembre…) et puis j’ai interviewé Laure Lamic, coach périnatal et j’ai eu envie de vous parler du périnée.
Si vous avez eu des enfants, si vous êtes enceinte, si vous pratiquez des sports à impacts etc. vous savez de quoi je parle. Oui au fil des ans, le périnée se fatigue ! Moi non plus je ne croyais pas que ça m’arriverait un jour de devoir speeder pour me précipiter aux toilettes parce que c’était l’urgence absolue.
Quand on fait du Pilates, on vous parle sans arrêt du plancher pelvien alors, non, ça ne pouvait pas, ça ne devait pas m’arriver. Mais si ! Ce qui rassure (ou pas…) c’est que c’est inévitable et super répandu. Alors en attendant d’aller en parler à ma gynécologue, j’ai demandé à Alain Bourcier, Physiothérapeute et Urodynamicien, pourquoi notre périnée nous lâche et comment faire pour… limiter les dégâts.
Beauty Toaster : à quoi sert le périnée ?
Alain Bourcier : le périnée constitue un plancher musculaire qui assure le maintien des organes pelviens (utérus, vessie, rectum). Il participe de plus à l’équilibre des pressions abdominales. En clair, il faut savoir que les organes situés dans l’abdomen subissent des variations de pression lorsqu’ils se remplissent, qu’ils se vident, qu’ils se contractent. Tout au long de la vie de la femme, le périnée subit des modifications selon différentes phases hormonales, telles que la grossesse, l’accouchement ou encore la ménopause.
Un relâchement du périnée peut entraîner soit une perte de contrôle de la vessie (incontinence urinaire) soit un prolapsus (descente d’organes). Si un problème existait déjà (faiblesse familiale, grossesse, accouchement, ménopause), les symptômes du plancher pelvien pourraient être aggravés.
Qu’est-ce qu’on fait dans la vie courante qui met à mal le périnée ? Dans notre quotidien, il y a de nombreuses positions ou activités qui sollicitent le plancher pelvien et qui nécessitent une certaine musculation de ce dernier : les emplois qui impliquent la position debout permanente, le port de charges ; de nombreuses activités sportives ; moins souvent mentionnées les activités sexuelles, qui nécessitent également une puissance et une flexibilité essentielles. Et on n’y pense pas toujours, mais les tâches ménagères, le jardinage, la torsion, le port, le martelage, le nettoyage ont également des effets délétères (NDLR. Ok, donc en plus, les taches ménagères nous flinguent le périnée, la double peine quoi 🙁 )
Est-ce qu’il y a plus de problèmes de périnée aujourd’hui ? Oui, il existe incontestablement une augmentation du nombre de consultations avec comme incidence des séances de rééducation « périnéale » en hausse pratiquées par des kinésithérapeutes et des sages-femmes mais également une recrudescence des interventions chirurgicales. L’âge plus avancé des maternités, les activités professionnelles avec déplacements ou port de charges, l’engouement pour le sport représentent l’essentiel des facteurs de risques.
Pourquoi la grossesse est un moment vraiment critique ? Le ventre qui s’arrondit de semaines en semaines appuie fortement sur le périnée et les muscles de cette zone. Le périnée peut en être affaibli et relâché dès la 12e semaine de la grossesse. La relaxine est une hormone peptidique sécrétée par les ovaires, le tissu mammaire, ou encore le placenta au cours des semaines précédant l’accouchement. Elle provoque alors l’assouplissement, la relaxation de l’utérus et de tous les tissus pour faciliter l’expulsion du bébé. Durant cette période, la pression exercée par l’augmentation du volume de l’utérus, à laquelle s’ajoute le poids du futur bébé et du liquide amniotique, met à mal le périnée.
Ce muscle est le dernier obstacle que devra franchir le enfant au moment de la naissance. Le périnée a beau être très extensible, il subit des tensions énormes pendant l’accouchement : pression vers le bas durant toute la durée du travail, étirements plus ou moins violents pendant les phases de poussée et d’expulsion. Il est donc indispensable de le préparer pour éviter les risques de relâchement, mais aussi pour faciliter l’accouchement.
Rééduquer le périnée, ce n’est pas seulement une question de bons abdos ? Contrairement à ce que l’on pense, le sport peut être néfaste au périnée ! C’est ce qui ressort du dernier congrès qui s’est déroulé à Paris les 27 & 28 septembre 2018 sur le thème : « SPORT & PERINEE ». Considérée longtemps comme une pathologie du vieillissement, l’incontinence urinaire est également reconnue depuis les travaux de ces dernières années, comme une pathologie de la femme jeune, sportive, en bonne santé. 30% des sportives se plaignent de fuites urinaires par rapport aux femmes du même âge ne pratiquant pas de sport. Il faut savoir que la force du plancher pelvien diminue de 20 % après 90 minutes d’exercices intenses. L’incontinence amène 20% des femmes à arrêter le sport. 40% de celles qui continuent changent de discipline. Les autres ont recours à une protection pour poursuivre leur activité préférée. Si vous êtes concernées par des fuites urinaires lors de la pratique de votre sport préféré, il faut choisir une autre activité où le corps est porté et les efforts mieux répartis et moins violents. Les sports à faible risque : natation ; vélo ; patinage ; tir ; marche ; roller ; golf, sont conseillés. Ne pas hésiter à consulter un professionnel de santé qui vous aidera à prendre conscience de votre périnée souvent mal intégré à votre « schéma corporel ». C’est donc là plus qu’ailleurs que l’auto-rééducation à domicile a toute sa raison d’être. Idéalement, ces techniques devraient aussi être intégrées aux programmes de remise en forme et dans l’entraînement des femmes sportives.
Quand faut-il consulter ? Les symptômes qui témoignent de la faiblesse du périnée se définissent par un mauvais contrôle du sphincter urinaire, un prolapsus (descente d’organes) et plus fréquemment par des fuites urinaires à l’effort ou même sans effort (urgenturie) avec une augmentation du besoin d’aller aux toilettes même quand la vessie n’est pas pleine, que l’on appelle une hyperactivité vésicale. Ces contraintes ont des conséquences psychologiques et sociales qui gâchent la vie en société mais que beaucoup de personnes minimisent. Ce dysfonctionnement perturbe aussi la vie de couple et l’épanouissement sexuel.
Finalement c’est un peu à tout âge qu’il faut y faire attention… Oui mais, il faut savoir que l’âge moyen des femmes ayant des fuites urinaires est de 50 ans. Et c’est entre 45 et 65 ans qu’on compte le plus de femmes concernées. Cela correspond à l’arrêt des règles et se caractérise par une diminution progressive de la sécrétion d’oestrogène et de progestérone par les ovaires à partir de 45 ans. C’est cet arrêt de la sécrétion hormonale qui entraîne nombre de désagréments caractérisant cette période, dont la diminution du tonus musculaires du périnée qui peut ainsi favoriser la survenue de fuites urinaires. En dehors de cette période, les femmes concernées par les fuites uriniares sont moins nombreuses et la rééducation du périnée s’apparente davantage à de la prévention.
Voici quelques conseils d’Alain Bourcier, à faire tous les jours pour protéger son périnée
On oublie le « stop-pipi » (une méthode qui consiste à arrêter la miction avant d’avoir complètement vidé sa vessie). La légende veut que ce soit une méthode très efficace pour muscler le périnée… le stop-pipi est une pratique à bannir lorsque l’on va aux toilettes car elle perturbe les réflexes normaux de la miction et de la continence. Par ailleurs, le stop-pipi favorise les infections urinaires car l’urine « stagne » dans la vessie au lieu d’être évacuée quand l’envie se fait sentir.
Les « Kegel Exercises » ou « Kegels » consistent en des contractions alternées des muscles du plancher pelvien et devraient être conseillés dès les premiers signes de faiblesse périnéale. 30% environ des femmes ont des difficultés à effectuer une contraction correcte au cours d’une première tentative. Pour cela, les cônes vaginaux, présentent le gros avantage d’obliger la femme à ne contracter que les muscles du plancher pelvien et peuvent être utilisés en position debout.
Le biofeedback (chez le kinésithérapeute), va permettre de visualiser le travail effectué, de l’analyser et de le corriger. Cette technique est très recommandée chez la sportive qui présente des troubles de la commande volontaire du périnée.
La stimulation électrique est conseillée dans les cas d’échec des programmes de contraction volontaire ou de faiblesse musculaire importante. Elle peut être réalisée avec diverses techniques et adaptée à chaque cas. Il existe de nombreux appareils avec sonde vaginale/anale mais plus récemment a été commercialisé un système non invasif sans sondes (Innovo™). Au moyen d’une unité de contrôle portable INNOVO® reliée à un short. Innovotherapy consiste à stimuler, de manière ciblée et efficace à l’aide de huit électrodes intégrées au short l’ensemble des muscles du plancher pelvien. Elle a l’avantage de ne pas être douloureuse et de ne pas entraîner d’infections urinaires. De plus, la pratique du sport est généralement régulière et donc nécessite un entretien permanent. Après chaque entraînement, l’utilisation d’Innovo® redonne le tonus du périnée mis à rude épreuve durant la pratique de son activité.
Les gymnastiques (yoga, Pilates, gym suédoise), de plus en plus recommandées associent toutes les mêmes principes : postures, respiration et périnée. Lorsque ces sportives sont gênées, elles comprennent la nécessité de pouvoir concilier une activité avec une activation du Core (ndlr. centre du corps). Une nouvelle méthode ABPelvicGym plus globale a été adaptée aux femmes sportives prenant en considération les chaînes musculaires synergiques du périnée et les mouvements.
Et moi, j’ajouterais l’arrivée d’un nouvel appareil, Silk’n Tightra, un dispositif autonome, qui utilise la radiofréquence bipolaire pour tonifier le vagin de l’intérieur, ce qui a pour effet de tonifier également le périnée en 3-4 semaines paraît-il.
Episode 41. On peut avoir une carrière prometteuse dans une grande entreprise du luxe, aimer son métier et ne pas s’y sentir à sa place. Quand Leila Echchihab s’en rend compte, elle réalise également qu’elle est en burn out, et ce depuis des années.
Sites, blogs, forums, tout le monde a envie de donner son avis sur tout et les cosmétiques n’échappent pas à la règle. Marine Chevalier a eu l’idée de créer une appli beauté, MyBeautyCommunity, qui permet aux consommateurs d’obtenir l’avis d’autres consommateurs en toute transparence sur tel ou tel produit.
Episode 39. C’est l’histoire d’une jeune femme qui devait devenir pharmacienne et qui décide finalement de se lancer dans l’étude de l’infiniment petit, celui qui se trouve à la surface de notre peau et qui grouille… de bactéries.
Quoi de neuf ?
Brrr ! Ca y est, c’est l’hiver ! Ok peut-être pas sur le calendrier mais dans la rue, je vous assure que l’hiver est bien là. Se réchauffer, passer au travers des microbes et arriver jusqu’au printemps sans perdre trop d’énergie, c’est ma mission de cette fin d’année. Car oui, la fin de l’année 2018 n’est plus si lointaine. Mais ne comptez pas sur moi pour vous parler cadeaux à faire à votre belle-mère ou calendriers de l’Avent. D’autres feront ça beaucoup mieux que moi. Allez c’est parti pour mes cinq coups de coeur du moment. Et entre nous, c’est bientôt Noël…
- Fabriquer son vernis en DIY. Vous connaissez Nailmatic, la marque de vernis vendus dans des distributeurs. Vous allez adorer son nouveau concept et en plus vous pourrez vous amuser avec vos filles ! Car qui n’a jamais rêvé de créer sa propre couleur de vernis ? La marque a donc mis au point des kits pour fabriquer soi-même sa propre couleur. Vous vous souvenez de ce jeu, Le Petit Chimiste (ok si vous avez moins de 40 ans, ça vous a certainement échappé, ahaha), eh bien, c’est un peu le même principe en fait. Là où c’est fort, c’est qu’on n’a pas besoin de faire des tas de dosages de poudres ou autre. Les flacons de pigments sont prêts à l’emploi, de même que les bases et tout le matos (pipettes, flacon, étiquettes et nacres) sont dans la boîte. Bon à savoir : si on est à court d’ingrédient, on peut faire un réassort sur le site. Avec le #nailmaticlab, c’est toute une communauté créative et inspirante que Nailmatic compte former. Pour votre info, les formules utilisent principalement des ingrédients d’origine naturelle (coton, maïs, manioc, pomme de terre…). Rendez-vous sur nailmatic.com
- Une salle de sport atypique. Cet endroit est juste incroyable. La Montgolfière est une salle de sport complètement atypique à deux pas du métro république. En fait, c’était une usine où l’on fabriquaient des montgolfières à la fin du 19 et début du 20ème siècle. Certains éléments architecturaux font furieusement penser à Eiffel. Oui, en plein coeur de Paris, on a conçu d’énormes ballons, certains même ont décollé depuis cet endroit aujourd’hui recouvert d’une verrière. Incroyable ! Aujourd’hui c’est devenu un lieu de vie. Avec un espace de vie café (avec Season) et co-working où l’on peut travailler, boire un verre entre amis ou mater des oeuvres d’art et des salles où l’on peut pratiquer cycling, boxe, muscu, mais également Pilates ou encore yoga. J’y ai pratiqué un cours de hip hop yoga pas mal du tout d’ailleurs. Evidemment, pouvoir fréquenter un lieu comme celui-ci, ça se mérite. 1800 € l’année ou 1450€ pour les moins de 28 ans. C’est bientôt Noël… L’adresse : 25 rue Yves Toudic, 10ème. Infos sur www.lamontgolfiere.com
- Une boutique digitale. C’est à la fin de ses études de mode et de marketing que Camille Dechartre décide de créer sa boutique en ligne Atelier Maoli. Un concept store où l’on trouve aussi bien de la mode que de la déco et même de la beauté. Un seul impératif : que tout soit produit dans un rayon de 500Km. Quoi de plus cohérent quand on prêche pour l’éco-responsabilité ? L’idée c’est donc de consommer des créations françaises et artisanales (plutôt que fabriquées en masse), parfois des exclusivités et toujours respectueuses de notre santé et de la nature. En beauté, on y trouve notamment même Green Barbès dont vous avez pu entendre une interview cette année (Clémentine Buren, en mode green et chic). Plein de marques sympas donc, à retrouver sur Atelier Maoli.
- Un pop up store cosméto. Etat Pur a ouvert une boutique éphémère dans la galerie marchande de la gare Saint Lazare à Paris (niveau -1). On pourra y faire réaliser des diagnostiques de peau, y trouver tous les soins de la marques et se procurer ses fameux actifs uniques. Je pense notamment à l’acide hyaluronique que je n’hésite pas à ajouter à ma crème de jour pour qu’elle soit encore plus hydratante, surtout l’hiver ! La boutique sera ouverte tous les jours dimanche et jours fériés compris, jusqu’au 30 janvier.
- Un thé pur se réchauffer. J’étais très café il y a quelques années et puis à force de partir en vacances en embarquant du thé, l’habitude estivale s’est transformée en habitude annuelle. Même si, lorsque je suis à l’extérieur, je suis toujours la 1ère à demander un expresso. Seul bémol et pas des moindres : le thé est un gros dézingue le fer, et mon organisme a déjà connu une anémie sévère (due à d’autres problèmes), du coup, j’essaie d’alterner entre thé vert et infusions comme celles à base de rooibos (j’adore le Marco Polo de Mariages Frères) ou celles à base d’hibiscus, le fameux karkadé au goût acidulé si particulier que j’avais découvert en Egypte, dans une autre vie. Depuis quelques semaines, je carbure au Tonichaï Boost des Thés de la Pagode. A base de sencha bio, de gingembre, cannelle, cardamome et menthe douce bio, il a une saveur légèrement épicée, très réconfortante avec ces températures faiblardes. Quand à savoir s’il donne autant d’énergie que la vitamine c d’une orange…
Episode 38. Anne Etchebarne est une passionnée. Une passionnée de danse, de barre New Yorkaise et de musique aussi. Dans son studio Aopa (Paris 17ème) tout en pierres apparentes et bois, elle a développé une technique, sa technique : la Wunder barre.
Glowy et apaisée
J’ai rencontré Marielle Alix la première fois début avril pour un soin et pour me familiariser avec sa pratique avant de l’interviewer. Ses soins, elle les réalise chez elle, à Paris. Les soins en appart’, on adore ! On a l’impression d’aller chez une copine. Et c’est un peu le cas quand on rencontre Marielle la première fois, tellement son accueil est chaleureux.
Après une rapide discussion à propos de ma peau, je m’installe sur le lit et c’est parti pour une heure de Soin Visage Lift & Sculpt. Formée au shiatsu facial, Marielle utilise une gestuelle lente, profonde, précise d’abord centrée sur le haut du corps. » Le but est que « tout recircule depuis les épaules jusqu’au cuir chevelu – le sang, la lymphe, l’énergie – sans oublier de permettre une assimilation optimale des actifs utilisés dans les cosmétiques ». Elle utilise les soins visage REN Skincare dont elle connaît bien les compositions pour avoir travaillé pour cette marque anglaise, que j’aime aussi beaucoup, ça tombe bien… Chaque tension est dénouée, que ce soit pendant le double nettoyage ou la pose du masque. Les vibrations font également partie des manoeuvres et contribuent à un « rééquilibrage énergétique indissociable du travail « anti-âge » souligne la praticienne. Et de préciser : « le lâcher-prise permet d’abaisser la synthèse d’hormones du stress, ce qui permet à la peau de se concentrer sur sa régénération ».
Lorsqu’on émerge du soin (ah, oui, je me suis encore endormie !), on se regarde dans le miroir et on voit quoi ? De l’éclat, pas une peau échauffée, non, de la lumière, des traits plus toniques, des ridules moins marquées. Bref, on a l’air reposé comme après une super nuit de sommeil sauf que celle-ci a duré… 1 heure seulement. Un must quand arrivent les températures hivernales et qu’on a envie d’un peu de lumière !
Justement, j’ai demandé à Marielle quelques conseils alimentaires pour garder le flow tout l’hiver. Son ordonnance :
1 Mangez des aliments aux couleurs « rainbow » (rouges, orange, jaunes, etc.) qui neutralisent les radicaux libres et augmentent la production de collagène pour une peau éclatante. Donc des fruits et des légumes.
2 N’oubliez pas le bon gras et les omégas 3. Misez sur les graines de lin et de chia, l’huile de noix et l’avocat (bio de préférence…) pour bien assimiler notamment la vitamine du glow, le Bétacarotène des fruits et légumes de couleur orange et verte. Le top : le foie de morue. C’est délicieux et c’est un des meilleurs superaliments pour la peau. Ndlr. Et là, je dis « MERCI MAMAN », de nous avoir fait avaler une cuillère à soupe de cette fameuse huile chaque matin d’hiver quand j’étais petite, même si c’était dégueulasse !
3 Évitez les aliments raffinés qui entraînent une sur-sécrétion d’insuline dans le corps. Tout sucre non utilisé en énergie est stocké dans le foie et provoque une glycation cellulaire (les fibres se raidissent), avec à la clef un vieillissement prématuré.
Voilà, voilà, vous vous voulez en apprendre plus sur Marielle, n’hésitez pas écouter ou à réécouter le dernier épisode de Beauty Toaster le podcast Marielle Alix, La Beauté Globale
Soin Lift&Sculpt par Marielle Alix, à partir de 140 € les 60 mn. Et pour plus d’informations, je vous invite à vous rendre sur le site de Marielle www.marielalix.com .
Et vous, cet hiver, c’est quoi votre truc pour protéger votre peau et garder de l’éclat ?
Manger mieux et faire du bien à sa peau
Décidément, les coaches se suivent et ne se ressemblent pas sur Beauty Toaster ! Cette semaine, je vous emmène à la rencontre de Marielle Alix coach Beauté et bien-être.
Get the glow
Certaines poudres sont tellement belles dans leur boîtier qu’on hésite à les détruire à coups de pinceau. Fines, pressées, gravées, ce sont de véritables oeuvres d’art, des OBNIS (Objets Beauté Non Identifiés). Il en sort de magnifiques à chaque saison, de quoi se créer une véritable collection. Plaisir des yeux… Et sur le teint, ça donne quoi ? De la structure, de l’éclat surtout. On les applique sur les reliefs du visage pour accrocher la lumière, apporter une brillance subtile. Pour cet automne-hiver, voici les trois qui m’ont fascinée.
- Le Lion de Chanel. La marque reprend souvent des thèmes chers à l’univers de sa créatrice (le tweed, le matelassé…). C’est une spécialité de la Maison et ces poudres sont souvent des exclusivités. En clair, une fois épuisées, on ne les revoit plus au catalogue. Une véritable frustration pour les addicts. Celle-ci n’échappera sans doute pas aux collectionneuses. Sa tête de lion stylisée est d’un doré cuivré, superbe sur les peaux mates, métisses et noires.
- La Rose à Poudrer de Lancôme. Cette rose en pétales de soie (enfin j’imagine que c’est de la soie, hein…) poudrées est étonnante. La poudre au fini or rose universel peut aller à tout le monde, à condition d’avoir la main légère. Je conseille plutôt de prélever la poudre au pinceau afin d’obtenir un résultat homogène et transparent.
- Mystic Glow Powder de Givenchy. Un or rose très pâle, un peu froid, parfait pour les peaux laiteuses auxquelles il apporta un peu de chaleur. Son plus : on peut l’utiliser sec ou avec un pinceau humidifié. Cette dernière option permet une application plus longue tenue sur les paupières, façon fard ou liner.
Et vous, laquelle aimez-vous ? Et êtes-vous fan de highlighter surtout ?