J’avais eu l’occasion d’interviewer Anastasia Soare, il y a quelques années de cela, lors du grand retour de sa marque sur le marché français. Les marques vont et viennent, elles sont parfois un peu trop en avance sur leur temps. En l’occurence, ce fut le cas pour Anastasia Beverly Hills.
Depuis plusieurs mois maintenant, je me dis qu’il faut que je parle de ces « nouvelles » (pas si nouvelles) textures cosmétiques. Poudre, solide, elles n’ont pas pu vous échapper. Est-ce que ça vaut le coup de switcher sa bonne vieille bouteille de shampooing en plastique pour un savon solide ? La poudre est-elle la solution miracle ? On fait le point.
En ce moment, je redécouvre le squalane, c’est pourquoi j’ai eu envie de vous en parler. Ni nouveau, ni révolutionnaire, quoi que… Light, inodore, il est, selon moi, une bonne alternative à l’huile végétale vierge qui peut en rebuter certain.e.s. Je l’utilise depuis quelques semaines dans ma routine beauté et même pour mes cheveux. Mais, je n’ai pas pu m’empêcher de me poser quelques questions sur l’origine de cet ingrédient très prisé des cosmétologues.
C’est inouï comme les grandes idées (#mondedapres) font très vite flop lorsque la vraie vie nous rattrape. Dans le monde d’après, on allait être raisonnable, on allait consommer moins, en conscience et blablabla. La vérité c’est que… maintenant y’a le « masqué » ou « maskné ». Le quoi ? Ok, je vous explique.
Avec ce post, c’est l’occasion pour moi de mettre en avant quatre soins que je trouve tout à fait dans l’air du temps gris et frais dans lequel nous avons été contraints de nous engouffrer assez brutalement. Pas de sponsorisation, aucun partenariat, juste l’envie de partager avec vous mes découvertes et d’encourager ces marques que je mets à l’honneur dans Beauty Toaster.
Il y a quelques semaines, je me suis rendu compte que mes jambes n’avaient plus l’allure que je leur connaissais, pire que ma souplesse musculaire avait du plomb dans l’aile. Effet collatéral du confinement et conjoint de la péri-ménopause, je me suis retrouvée avec des guiboles moins fermes, la peau flappie en plus d’articulations et de ligaments bien trop raides… Ca m’a fait un choc et j’ai décidé de réagir. Mais bon, pour les miracles, on repassera.
Pourquoi il faudrait se protéger du soleil quand on s’expose et qu’on a la peau noire ? Perso, je ne me suis jamais posé la question. En arrivant dans la beauté, en entendant les discours des labos et des marques sur la nécessité presque vitale de se protéger des UV, j’ai intégré que c’était également une nécessité pour moi, certes à un degré moindre, mais que je devais aussi le faire.
Ca faisait longtemps que je ne vous avais pas parlé produits. Ca vous a manqué ? A moi aussi. Ces derniers temps, je n’avais plus trop envie de parler de cosmétiques, ça me paraissait léger, presque futile. Et puis, après avoir testé plusieurs soins, je me suis dit que ce serait pas mal de vous en parler. Tout n’est pas nouveau, mais vous me connaissez maintenant, vous savez que la surconsommation et la course à la nouveauté sont des no go zones pour moi. Alors voici ma petite review de l’été…
Je me rends compte que depuis tout ce temps, je n’ai jamais vraiment écrit un article sur la clean beauty, peut-être parce que ce concept est devenu une tarte à la crème rance et que « ça me saoule ». Eh oui, je ressens de moins en moins de sincérité derrière ce « concept ». Car oui, c’est avant tout un concept, à défaut d’être un label.
Avant, quand je travaillais dans la presse féminine, la femme idéale en couverture était forcément blonde au yeux bleus, et mince et jeune. Pas question de mettre un autre type en avant au risque de faire moins de ventes. La blonde « ça vendait mieux » que la brune ; la rousse, c’était hors de question ; quant à la noire, l’orientale ou celle aux yeux bridés, c’était même pas la peine d’y penser. Chronique d’un racisme ordinaire au pays de la beauty…