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Quoi de neuf ?

Allez, une speed list pour marquer (et non fêter) l’arrivée de novembre, le changement d’heure (que je déteste !) et la froidure… C’est comme ça, c’est novembre. Mais vous savez quoi ? Ca va bien se passer. Tous les ans, ça nous fait ça. On commence à déprimer, on a envie de rester en boule au fond de son lit, on a l’impression d’être au ralenti. Mais non, mais non, il y a plein de choses sympas à découvrir, à faire, c’est pas le moment d’hiberner. Allez, hop, hop, hop !

1. La bonne action. J’aime beaucoup ce que fait la Maison Fragonard, en particulier ses workshops sur le parfum dont je vous avais déjà parlé notamment dans le post Parfums: Sang, Sécrétions et Momies que je vous invite aller lire si vous ne l’avez pas déjà fait. Vous serez surpris. Aujourd’hui, Fragonard est bien plus qu’une marque de parfums, c’est une marque de lifestyle raffinée. Mais pas que… Fragonard s’engage auprès d’Elise Boghossian acupunctrice parisienne dont l’ONG EliseCare vient en aide aux victimes des zones en guerre. Grâce à ses aiguilles, elle soulage la douleur, accélère la cicatrisation et aide même à opérer sans anesthésie chimique. Afin de l’aider dans son combat, Fragonard met en vente un savon coeur au jasmin, dans son magnifique porte-savon en forme de coeur (25€), dont tous les bénéfices sont reversés à l’association EliseCare. En vente dans les boutiques et sur le site de la Fragonard.

2. Motivation. Ce qui freine quand on veut se mettre ou se remettre au sport (surtout en cette saison), c’est en grande partie le prix du forfait annuel, souvent démentiel ! Mais c’est aussi qu’on est pieds et poings liés à une salle ou à son réseau. Je trouve ce système complètement obsolète, complètement à côté des envies de consommation d’aujourd’hui. Moi j’ai envie d’aller faire une séance de Pilates dans un studio à côté de chez moi et puis demain d’aller faire du yoga entre deux rendez-vous dans l’arrondissement où je me trouverai à l’instant T, parce que j’aurai 2 heures à tuer.  C’est exactement ce que propose Urban Sports Club. Sur l’appli téléchargée, on choisit l’un des 4 forfaits (du plus basique à 29 € aux plus premium à 129 €) et ensuite on peut se rendre dans n’importe quelle salle répertoriée dans le réseau USC, pour suivre un cours ou accéder à la salle que l’on veut : escalade, yoga, crossfit, cycling, boxe… En plus, on peut pratiquer dans différentes villes, y compris en Allemagne d’où le système est originaire et où l’offre est ultra développée. Top ! Plus d’infos sur le site d’Urban Sports Club (en photo : un cours de Yoga Aérien au Centre Somasana, Paris 8ème. #jelaifait)

3. Attention pépite. J’avoue, je n’en avais jamais entendu parler. La Maison Delbôve a été fondée en 1967 (année chère à mes artères 🙂 ) par Marion et Roger Delbôve, un couple de belges passionnés de cosmétiques et de plantes. Madame était une disciple d’Helena Rubinstein, mais au fil du temps, la puissances des végétaux l’a convaincue de créer ses propres formules, avec l’aide de son mari, serial entrepreneur dans la coiffure. Leurs premiers soins : la Crème et l’Eau Sorcière. Ca ne s’invente pas à l’heure où celles que l’on chassait avec cruauté en d’autres temps connaissent un regain d’intérêt (n’est-ce pas Odile Chabrillac ? 😉 ). Le couple a ensuite formulé des une vingtaine de soins pour le corps, les cheveux… A la mort de ses créateurs, Gina d’Ansembourg reprend la marque et lui donne une seconde vie. Les formules botaniques (25 en tout) sont bio, contiennent très peu d’eau (voilà qui devrait en inspirer certains…) et leur objectif est d’aider la peau à se rééquilibrer toute seule, grâce aux plantes et à une gestuelle stimulante… magique, paraît-il. Perso, j’adore ! A retrouver sur le site de la marque Delbove Botanicals , au Bon Marché Rive Gauche et chez Nose à partir de Janvier.

4. Aller mieux. Cette femme est une guerrière. 25 ans dans la com’, 5 enfants et puis une séparation à presque 50 ans, d’une brutalité telle qu’elle pousse Anne Boutelant à se remettre totalement en question. Elle publie deux livres (Comment j’ai décroché de mon ex et Trop bonne trop conne, aux éditions Marabout), deux manuels qui retracent son expérience et donnent des clefs essentielles pour mieux vivre nos vies de femmes. Et puis elle s’est également formée en PNL (programmation Neurolinguistique) et à l’hypnose Ericksonienne. Aujourd’hui, elle vient en aide aux autres, elle les coache, les aide à cheminer dans leur vie, à surmonter les obstacles du quotidien, mais aussi ceux du passé qui entravent et font souvent perdre l’équilibre et beaucoup trop de temps. Elle vient également en aide aux enfants et ados atteints du cancer dans la gestion de la douleur. Physique et psychologique. Anne est dynamique, enthousiaste, elle adore ce qu’elle fait et ça se sent. Elle est désormais à sa place, comme elle dit. Vous n’êtes pas à Paris ? La bonne nouvelle c’est qu’elle a également un blog www.anneboutelant.com , où elle distille non sans humour, conseils et informations aussi bien sur le développement personnel que sur divers phénomènes de société touchant les femmes généralement (#bodypositive etc.). Ok, ça ne vaudra jamais une consultation, mais c’est déjà un bon moyen pour savoir si son approche vous parle. Si vous désirez la consulter, les rendez-vous sont à prendre via son site et son bureau est situé chez Bliss Home, 17 rue de la Pompe (16ème), une super adresse dont je vous reparlerai très bientôt.

5. Roulement de tambour. Ca y est ! Glossier débarque en France. Soirée de ouf mardi dernier chez Lapérouse pour fêter l’arrivée en France de la marque phénomène (j’avais posté des stories). Phénomène parce que tout est parti d’un blog, Into The Gloss, lancé en 2010 par une journaliste débutante, Emily Weiss, qui au fur et à mesure s’est construit une communauté puissante à faire pâlir d’envie les grosses marques traditionnelles. Forte de cette communauté d’expertes auto-proclamées qu’elle écoute religieusement, Emily lance Glossier en 2014. Ses produits, elle les conçoit avec l’aval de sa communauté qui font de certains produits de véritables block busters (comme le Milky Jellly Cleanser, Cloud Paint ou encore le Boy Brow). Cette jeune femme est à la tête d’un empire à 33 ans et contrairement à d’autres qui ont tout construit sur leur nom, leur célébrité, leurs fesses même (et aucun travaille derrière, si vous voyez de qui je veux parler…), elle, a bossé, c’est une vraie self-made woman, comme les américains les aime. Le bémol : au-delà du phénomène et de la hype qui l’entoure, n’allez pas y chercher des formules ultra clean, bio ou autre, en particulier dans le soin. Si vous êtes dans ce mood-là, passez votre chemin ! Si vous faites partie des fans absolus, bah, foncez quoi !

 

Un maquillage qui ensorcelle

Violette, la maquilleuse-influenceuse qui travaille désormais à la direction artistique du maquillage Estée Lauder, signe cet automne sa seconde collaboration avec la marque. L’avantage d’avoir une ou un maquilleur qui signe une collection, c’est qu’il y a toujours une histoire en fil rouge. Ce n’est pas juste (ou en tous, ce n’est pas ainsi qu’on nous le présente…) un truc marketé par des gens sortis de nulle part qui planchent sur des mood boards ou des catalogues de tendances ou -et ça c’est pire que tout- sur quelques requêtes chopées sur Google Trends, comme c’est de plus en plus le cas.

violette, make up artist, La Dangereuse
Dans les coulisses d’une présentation beauté…

Violette aime les paillettes, les couleurs fortes et ne fait aucun compromis. Inspirée par cette vague de reprise de parole des femmes, elle a rêvé la collection d’une Dangereuse, une femme libre et émancipée, vivant seule dans l’Italie des années 30, une scandaleuse quoi ! Elle a imaginé son intérieur chamarré, les tapisseries, les tentures et rideaux d’étoffes lourdes et précieuses. Certains fards sont moirés, d’autres sont saturés de paillettes. Les rouges à lèvres sont forcément intenses. Mais tout reste modulable, adaptable…

Le crédo de la maquilleuse : ne surtout pas transformer, ni déguiser la femme, mais l’aider à se sublimer. Et pas en y passant des heures. Donc tout s’applique au doigt et ça c’est top. Les couleurs sont fortes mais peuvent s’appliquer en voile. On peut aussi utiliser un pinceau légèrement humide pour les fards à paupières, afin de les transformer en eye-liner par exemple.

Gloss, maquillage, make up artist, Violette

J’adore particulièrement le Eye Gloss Sheer Scandal, un gel gloss transparent au fini holographique à appliquer directement sur peau nue ou à superposer sur un fard. C’est un produit qui existe depuis un bail et ça faisait longtemps que je n’en avais pas revu dans une collection. Sur une paupière nue ou sur l’os de la pommette, ça fait un petit effet dewy (perlé comme de la rosée) et frais, qui capte la lumière. Seul inconvénient, ça colle un peu, donc c’est peut-être plus approprié pour un make up du soir.

Collection La Dangereuse by Violette X Estée Lauder, en vente maintenant sur le site de la marque Estée Lauder, sur les points de vente, le site feelunique.fr

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Même plus mal !

Il y a quelques mois, j’avais évoqué une nouvelle thématique, les petites machines (le premier post s’appelait Maman, c’est quoi ce machin ?), pour vous parler home devices. Il y en a tellement maintenant et plus seulement pour s’épiler ou se nettoyer le visage. Aujourd’hui on peut traiter, rides, éclat, tonicité, tout semblerait possible.

Pour cet opus N°2, j’ai décidé de vous parler anti-douleur, rien à voir avec la beauté, mais avec le bien-être assurément. Devant la douleur, plus le temps passe plus on se ressemble toutes autant qu’on est, surtout le matin au réveil. D’ailleurs selon une étude Sanofi, on serait 15 millions de français à souffrir de douleurs chroniques. Je ne sais pas si c’est pareil pour vous, mais chaque matin, j’ai l’impression désagréable d’être rouillée au saut du lit. J’ai toujours l’impression de m’être endormies en boule. Alors forcément quand il faut « dérouler » mon 1m66, j’ai un peu de mal. Et puis dans la vie quotidienne, je paie cash le moindre faux-mouvement : nerf coincé, luxation, entorse, bref, c’est super pénible. Je ne suis pas adepte des médocs. J’ai tendance à faire confiance à mon corps pour se réparer tout seul. Mais il y a des moments où ça met vraiment trop de temps, où la douleur est tellement insupportable qu’il faut agir vite. C’est ce qui m’est arrivé l’hiver dernier lorsque que j’ai dû aller chez Lanqi remettre mes cervicales dans le bon alignement. Et je crois que j’aurais bien aimé avoir sous la main à cette époque, ce petit stylo qui ressemble à aux stylos à 4 couleurs de notre enfance.

paingone, anti-douleur, home device

Sauf que lui il sert à anesthésier la douleur en diffusant un léger courant électrique. Non, rien à voir avec le courant des ceinture de muscu, c’est beaucoup plus léger. L’idée n’est pas de solliciter un muscle, mais d’atténuer une douleur en émettant une impulsion électrique qui va permettre au cerveau de libérer des endorphines, ces hormones naturelles anti-douleurs, pour soulager une zone douloureuse.

On peut l’utiliser sur toutes les articulations (genou, poignet, coude…), mais également dans le dos, dans le cou, partout où on ressent une douleur. Pratique plutôt que d’aller se flinguer le foie avec du paracétamol ! Quand je pense à ma mère qui en a ingurgité des doses impressionnantes pendant des mois, pour ZERO EFFET sur une sciatique invalidante. D’ailleurs, je lui ai donné direct le Paingone Plus (une seule pression de 30 seconde est nécessaire), en espérant qu’elle l’utilise. Moi, j’utilise l’Original, plus petit et plus léger, il exige de réaliser 40 clics d’affilée, mais il est tout aussi efficace que la version Plus.

A partir de 39,99 € en pharma et parapharmacie.

Et vous c’est quoi votre astuce anti-douleur ?

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Recherche mascara, bonne récompense…

Il y a quelques semaines, je suis tombée sur un article très bien documenté qui racontait combien le mascara était en déclin et constatait même sa disparition totale des nouvelles marques fortes du moment. Ni Huda Beauty, ni Fenty n’en ont. D’ailleurs, cette dernière continue à se déployer et point de mascara en vue… Quant à Huda Kattan, que j’interviewais dans le post Huda Make Up fan Absolue, elle a tout de suite misé sur les faux-cils. Il paraît que Lady Gaga a déposé le nom d’une marque de cosmétiques et de maquillage dans laquelle on ne trouve pas trace de mascara non plus.

Pourtant, l’industrie aurait vendu pour plus de 8 millions de dollars de mascaras l’année dernière. C’est donc plutôt rentable a priori, le mascara. Inventé à la fin du 19ème siècle par un français, un certain Eugène Rimmel qui crée une première formule à base de vaseline (si, si !), il faudra attendre la fin des années 50 et l’invention du premier mascara automatique par Helena Rubinstein pour obtenir le mascara tel qu’on le connait aujourd’hui, c’est-à-dire, un tube avec pinceau intégré.

Mais le mascara a tout de même été fortement concurrencé ces dernières années. Certains traitements tels que Latisse ou Revitalash Advanced qui font pousser et épaississent les cils ont fait leur apparition. On a vu également la pose d’extensions de cils se développer fortement, un service qui permet d’obtenir une frange de cils exceptionnelle et de se passer de mascara par la même occasion. D’ailleurs lors de mes vacances cet été, j’ai remarqué autour de moi que de plus en plus de jeunes femmes avaient recours aux extensions de cils. Normal : pas de coulures quand on nage ou que l’on transpire, pas d’effritements en cours de journée, pas de démaquillage obligatoire le soir. Que de temps gagné le matin !!!

Je remarque également en regardant ma propre fille, que les femmes et les jeunes filles en particulier, sont très exigeantes quant à l’effet et à la qualité du mascara. Ceux qui sont incapables de leur faire des cils plus longs et plus fournis sont systématiquement écartés. Du coup, ma fille est également très branchée faux-cils, mais uniquement pour faire des photos sur IG. Elle ne part jamais au lycée avec, alors que certaines de ses « collègues » le font sans problème m’a-t-elle assuré.

En fait, le mascara reste la chasse gardée des « major companies ». Développer un mascara coûte cher. D’autant qu’il y a quelques années une marque m’avait révélé qu’une entreprise dominante du secteur avait breveté un nombre incalculable de brosses, de formules, de contenants, de matières. Difficile dans ces conditions d’arriver avec l’idée du siècle  et certainement pas envie de voir débarquer une horde d’avocat à sa porte quand on est une start-up.

Mascara Chanel Révolutionnaire cils
Photo Beauty Toaster

Pourtant, quand on a les moyens, il y a encore de la place pour l’innovation, la preuve : avez-vous vu le dernier mascara de Chanel, Le Volume Révolutionnaire (ci-dessus) ? Brosse démente imprimée en 3D (les machines peuvent sortir jusqu’à 1 million de brosses par mois, qui dit mieux ?) dont la matière et la présence de micro alvéoles permettent une application dite subtile et progressive du produit qui, en soi, n’est pas une formule révolutionnaire. Perso, je trouve cette nouveauté fascinante. Et vu le nombre d’essais et la qualité de l’objet, je n’ose imaginer le coût de la R&D. Sûr, qu’une start-up aussi innovante soit-elle ne joue pas dans la même cour !

Bon, mon avis sur ce produit est tout de même moins enthousiaste. Si vous cherchez un effet recourbe-cils et/ou allongeant, oubliez ! Ce mascara épaissit (limite pattes de mouches quand même) et basta, peut-être parce que la texture est trop épaisse. En tous cas, celles qui ont des cils invisibles vont adorer.

Moralité : je pense que le mascara a encore de beaux jours devant lui… Mascara Le Volume Révolution de Chanel , noir, 35 €.

Et vous, avez-vous testé les extensions de cils ? Avez-vous appris à poser vos faux-cils comme une pro ? Ou alors faites-vous aussi partie de la team « jamais sans mon mascara », comme moi ? 

 

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2018, année du sur-mesure

Avant, pour celles qui pouvaient se le permettre, on avait droit au diagnostic de l’esthéticienne qui nous refourgait une crème lambda (voire cinq !) formulée pour madame tout le monde. On avait aussi droit (et on y a encore droit) aux linéaires de cosmétiques produits en masse. Mais ça c’était avant ! Aujourd’hui, on est l’ère des soins ultra-personnalisés. Merci au milleniums qui seraient, paraît-il, en demande de produits conçus spécifiquement pour eux/elles, alors que leurs ainées prenaient tout ce qu’on leur proposait (imposait ?) sans broncher, ni questionner la compo des formules. Merci aussi l’IA, l’intelligence artificielle. Car non seulement, elle permet de récolter des infos sur la peau, le mode de vie etc., mais en plus elle donne la formule ad hoc pour chaque peau à l’instant T. C’est un peu comme si la haute couture devenait abordable pour le plus grand nombre. Les concepts explosent en cosméto, mais pas que…

Il y a quelques mois je vous parlais de Mon Teint Particulier (Lancôme) qui permettait la fabrication du fond de teint parfait. Je suis allée jusqu’à la dernière goutte de ce fond de teint tellement j’ai adoré, ce qui ne m’est jamais arrivé avec un fond de teint, tellement j’ai adoré. Vous voulez savoir comment il est fabriqué ? Rendez-vous dans le post Mon perso, le fond de teint sur mesure.

Désormais, le phénomène de personnalisation s’amplifie et se développe dans la cosmétique pure. Les marques se multiplient et rivalisent d’originalité en utilisant toujours l’intelligence artificielle et les données très personnelles nécessaires à l’élaboration de votre crème à vous et pas celle de la voisine.

cosmétiques sur mesure, personnalisation

L’extra fraîcheur : Laboté. Vous vous souvenez, la première fois que je vous en ai parlé, c’était dans le post La Crème de ma crème  paru l’année dernière. Un vrai coup de coeur pour la crème et le sérum sans conservateur. Du coup, j’en avais reparlé à l’occasion de la sortie de l’huile démaquillante personnalisée, la Beauty Wave. Enfin, si vous êtes une fidèle de mes interviews en podcast, vous aurez sans doute entendu sa créatrice Lucile Bataill dans l’épisode 7 et si ce n’est pas encore fait, je vous invite à aller l’écouter. Elle explique sa démarche avec beaucoup de transparence. Je suis une fan de la première heure.

Universkin, derme-cosmétique, esthétique

 

La version cosméceutique : Universkin. Questionnaire sur internet (ça demande bien 15 minutes et c’est assez détaillé). On vous demande comment est votre peau, votre phototype, si vous avez des taches, si vous êtes stressée, ridée… Ensuite, consultation avec un médecin esthétique (eh ouais, ça rigole pas) pour affiner le diagnostic et choisir les actifs les mieux adaptés. Le mélange est réalisé sur place à la fin de  la consultation. Le sérum (il n’y a ni crème ni soin contour des yeux par exemple) peut contenir jusqu’à 3 actifs différents et est formulé sans conservateur. Il est utilisable 8 semaines maxi puisque c’est une formule fraîche. Bon, j’avoue, une catastrophe m’est arrivée. Au bout de quelques jours, j’ai fait fait exploser le flacon du sérum nuit sur le carrelage de la salle de bains. Damned ! Bon je continue à appliquer mon sérum de jour qui est blindé en vitamine C (dosée à 7% tout de même) et en SOD (enzyme anti stress oxydant). Mon verdict : après quelques semaines d’utilisation, je dois dire que l’éclat est au rendez-vous comme jamais, et que les taches se sont déjà bien estompées. J’ai également l’impression d’une peau plus ferme. Moi, je demande : A quand les crèmes sur-mesure aussi,  pour compléter le protocole ? Comptez entre 90 et 120€. Sur le site Universkin.

Eponyma, crème sur mesure

 

La petite nouvelle : Eponyma. Lancée il y a quelques mois. Vous avez peut-être entendu Florent Pascal, son créateur que j’ai interviewé dans l’épisode de mercredi dernier Le Soin sur Mesure. Même principe que précédemment : un questionnaire sur le mode de vie, les besoins de la peau, son environnement… Ensuite, on découvre une formule conçue sur mesure, ses ingrédients et tous ses principes actifs. Et on finit par lui donner un nom, le sien tant qu’à faire. J’ai choisi volontairement une formule nourrissante et protectrice. Vite absorbée, elle laisse la peau confortable à l’application et pas trop parfumée, bien comme j’aime. Rien n’est caché. On sait qu’il y a des conservateurs et Florent Pascal s’en explique très bien. C’est vrai que je l’ai trouvée chère (toujours plus de 85 € les 50 ml). Mais bon, c’est produit à l’unité et niveau service, on n’est pas déçu : on reçoit sa crème très rapidement, en deux jours maxi, c’est fabuleux. A découvrir sur le site www.eponyma.com

Alors certaines me diront : « mais tu as oublié Seasonly ». Bah non, je n’ai juste pas eu l’occasion de la tester alors que j’avais rempli le test et tout et tout (comme me l’avait proposé l’attachée de presse), bref, je préfère parler de ce ce que je connais.

Version parfum : Sillages Paris. Il y a quelques mois, j’avais entendu parler de Sillages Paris, un concept original dingue qui se propose de trouver votre parfum idéal. Alors ce n’est pas une machine qui fabrique votre parfum sur mesure comme l’explique très bien Maxime Janin-Garcia dans l’épisode Les codes du parfum 3.0. Chez Sillages Paris, il y a déjà un certain nombre de jus qui ont été composés par des nez pros. Vous entrez vos critères, ce que vous aimez : notes boisées, fruitées, ambrées etc. Le parfum qui pourrait vous correspondre vous est livré ainsi que des échantillons de fragrances « cousines » pouvant vous plaire également et là plusieurs solutions s’offrent à vous. Vous adorez le jus que vous a choisi le logiciel et vous le gardez. Vous préférez l’une des fragrances en échantillon. Vous la commandez et renvoyez le flacon (non ouvert, of course). Ok ce n’est pas du sur-mesure à 100%. Mais je vous dirais que ce n’est pas plus mal. Parce que construire un parfum c’est un métier, un art qui consiste à assembler et à harmoniser surtout différentes notes, un peu comme pour une partition. Imaginez si vous vous improvisiez compositeur alors que vous ne maîtrisez pas une note de solfège…

Ne riez pas, c’est exactement, en juin, j’étais en vadrouille à Vivatech, le salon consacré aux nouvelles technologies. Et je suis tombée sur une machine qui permettait effectivement de composer soi-même son parfum. L’idée que n’importe qui puisse créer son propre jus m’a donné mal à la tête. Heureusement, la machine et ses flacons développés par un créateur saoudien coûtent un rein ! Mais jusqu’à quand ?

Et vous les soins personnalisés, ça vous tente ou pas du tout ?

 

Pourquoi ne pas faire son âge ne sert à rien

Bah, je ne sais pas si c’est la vérité, en tous cas les mots sont puissants comme un uppercut :-). Vous avez des ados ? Alors, vous savez de quoi je parle, ça doit vous arriver au moins une fois par mois (pour les plus chanceux), ce genre de mise au point.

Alors, je vous raconte ma vie. On était en voiture en vacances, c’était l’avant-dernier jour, j’avais cédé à l’envie de ma fille d’aller « faire du surf » en partant à l’aube à l’autre bout de l’île #LaMartinique. 57 bornes aller, 57 bornes retour, merci maman. Tout ça pour deux heures à pas pouvoir se tenir debout sur la planche plus d’une demi seconde quand même. Hum… Heureusement, l’après-midi, j’ai eu droit à ma plage de sable blanc !

Sur la route du retour, je demande à cette chipie si elle est contente de sa journée : « oh oui maman, merci, c’était vraiment super ! L’avantage des ados, c’est que même si c’était pas top (vu du sable, pour moi, c’était pas top !), du moment que c’est un truc qui les intéresse, c’est top. Ahahah ! 😉

Moi : c’était vraiment de chouettes vacances, non ?

Elle : ah ouais…

Moi : mais bon, on n’a quand même pas trop bougé cette année, contrairement aux années précédentes. J’étais quand même plus fatiguée, moins pêchue…

Et là, elle me sort d’une traite la phrase qui tue : « Oui, mais il faut dire que tu vieillis aussi »

Et bim, dans ta face ! Evidemment, on a bien ri, mais elle a raison. Physiologiquement, je me sens plus au ralenti. Avant, je voulais tout faire, être partout à la fois, bref pas question de mollir. Il fallait remplir l’emploi du temps. Zéro temps mort. #ActionMum c’était moi ! Cette année, pas de planning surchargé, plus envie de courir dans tous les sens. Juste envie de me poser sur une plage et ne plus bouger. Je voulais passer des vacances tranquille, apprendre à méditer et… et je me suis écoutée. Au risque d’avoir la soupe à la grimace de ma fille qui, elle, avait envie d’être occupée, enfin même occupée, elle toujours trouvé le moyen de passer ses journées sur son téléphone.

Oui, je vieillis. C’est étrange ce processus, cette impression de ne pas pouvoir y échapper. On a beau chercher tous les moyens possibles et imaginables, rien n’y fait. La réalité est bien là, elle te rattrape malgré toi. Rien ne sera plus jamais comme avant. Au moment où ton enfant commence à avoir sa propre vie (ses amis(e), ses sorties, son indépendance), où toi tu pourrais recommencer à faire plein de choses sympas (sortir tard, partir en week-end, t’enfiler des séries en t’empiffrant de tout et n’importe quoi…), ben t’as plus de jus, t’es à plat comme le lapin des piles Wonder, comme ma petite patate de chat cassé par la canicule ! Est-ce que c’est le fait d’avoir eue ma fille relativement tard ? Avoir un enfant à 35 ans, c’est quand même pas pareil qu’à 27. Et là, on se dit que si c’était à refaire…

Bah si c’était à refaire, je referais la même chose et vous savez pourquoi ? Parce qu’à mon âge, je devrais être larguée en nouvelles technologies, has been de chez has been. J’en connais plein qui à 50 ans ne connaissent pas Instagram (de loin mon RS préféré, tellement il est puissant), refusent les réseaux sociaux même professionnels (pourtant Dieu sait que ça m’aide Linkdin dans ma reconversion 😉 ). Quand on a 50 ans et qu’on a une ado aujourd’hui en 2018, c’est juste impossible d’être larguée. Elle m’apprend plein de trucs. Je crois pouvoir dire que j’ai une bonne longueur d’avance par rapport à son père qu’elle ne voit qu’un WE sur deux. Elle m’aide à comprendre toutes ces mutations et à les accepter surtout.

Donc peut-être que physiquement, je suis plus au top comme à 30 ans, j’ai pas la pêche pour faire du Body Attack, du Cross Fit ou des trucs encore plus extrêmes, mais je vous rassure, j’ai encore du jus (mental) pour plein de choses, notamment celles que je désire accomplir dans ma vie professionnelle. Les jours sans ? Je vais gérer, je prendrai des vitamines, je ferai du yoga, de la méditation, tout ça tout ça. It ain’t over till it’s over ! Allez, on y croit ! 😉

Et vous ? Vous avez l’impression de vieillir aussi un peu plus vite avec vos enfants ? Comment vous faites pour ne pas être dépassée ? J’attends vos tuyaux…

photo personnelle, vacances, Martinique 2018
photo Beauty Toaster

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Les Minimes ressuscités

J’adore ce genre d’histoire et je ne suis jamais aussi enthousiaste que lorsqu’une marque renaît de ses cendres, en cassant ses anciens codes, en faisant sa révolution. C’est ça qui est intéressant dans la cosmétique. Et franchement, je pense que peu de gens dans les services marketing des grosses boîtes prennent la mesure de ce qui se passe en ce moment. A croire qu’ils vivent sur une autre planète. J’ai envie de leur dire : « réveillez-vous les mecs, sortez, prenez le métro, passez le périphérique, le monde ne se limite pas à vos petits quartiers de bobos parisiens, ni à vos petits bureaux bien rangés ! » Fort heureusement d’ailleurs…

Depuis que j’ai commencé ma vie de podcasteuse et de tête chercheuse de talents (je vous invite à lire ou à relire le post sur le bilan de Beauty Toaster), depuis que je rencontre des entrepreneurs, jeunes et moins jeunes qui font aujourd’hui la beauté de demain, je me rends compte à quel point prendre des « risques » est plus que jamais une nécessité dans ce domaine. Car l’obsolescence arrive très vite. Une idée, un concept en chasse un autre. On le voit, les « vieilles » marques se font distancer. Pourtant, elles ne manquent pas de moyens pour innover. Nan, il leur manque juste du sang neuf, des idées qui encore une fois cassent les codes. Il leur manque l’inconfort, les remises en question. Tout ce dont on a besoin pour innover quoi ! Les études de marché à la papa, ça ne fonctionne plus !

C’est certainement tout cela à la fois qui a animé l’équipe de Didier Tabary, le patron de Filorga, SVR et Couvent des Minimes. Je me souviens il y a plusieurs années lorsqu’il a racheté Filorga, une marque de dermo-cosmétiques aux packagings bleu ciel absolument improbables. Il l’avait alors transformée en un Dr Brandt à la française. Esthétique noire, signalétique argent, image luxe. Filorga est devenu une marque leader du marché dermo-cosmétique.

Donc Didier Tabary est quelqu’un qui doit aimer les défis et les causes un peu désespérées quand même. Qand j’ai appris le rachat de Couvent des Minimes, je me suis demandé ce qu’il allait faire dans cette galère. La galère en question ? Une marque moribonde, sortie des radars depuis des années. Eh bien là encore, contre toute attente, alléluia, Couvent des Minimes est ressuscité ! (ok, elle était facile celle-là 😉 )

L’équipe est allée puiser dans l’ADN de la marque. Back in the 17th century ! Elle s’est inspiré des traités botaniques du père Louis Econches Feuillée, botaniste de Louis XIV, féru de sciences, passionné par les espèces végétales et les essences rares entre autres. Après 18 mois de travail (une dizaine de nez a bossé sur le projet), Le couvent revient métamorphosé, rajeuni en apparence, modernisé en profondeur. Un look très cabinet de curiosité (que perso j’adore), un parti-pris fort : aucun ingrédient n’est issu de l’exploitation animale (ça, j’adore aussi !). Un tour de force lorsque l’on sait qu’en parfumerie, il arrive encore qu’on utilise certaines matières animales, mais de moins en moins, thank God !

Couvent des Minimes, beauté, botanique, végan
Photo Beauty Toaster

Le Couvent des Minimes du 21ème siècle, c’est une marque lifestyle, des parfums, des colognes, mais aussi, des bougies, des baumes (comme le célébrissime Baume du Jardinier), des soins visage et des huiles corps aux parfums subtils. Bien sûr, les formules sont dépourvues de tout ingrédient polémique et contiennent jusqu’à 98% de matières d’origine naturelle et toujours végétale. Le tout est positionné plutôt haut de gamme, mais sans tomber dans la « niche » ultra chère (les parfums -100 ml- ne dépassent pas 89€), un tour de force !

J’applaudis des deux mains à cette renaissance aussi inattendue que réussie. Une divine surprise à retrouver dans les parfumeries agréées en attendant l’ouverture d’une boutique…

Avez-vous découvert Le Couvent des Minimes nouvelle génération ? vous en pensez quoi ? Vous adhérez ou pas du tout…

 

 

 

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Quoi de neuf ?

Eh bien, le neuf c’est la rentrée, le retour au quotidien, à la routine, mais plus en forme qu’en juin j’espère.

Je suis aussi partie en vacances et je suis rentrée quand les autres partaient. Sur le coup, ça fait toujours un pincement, on se dit que ces vacances étaient vraiment trop courtes, et puis au fil des jours, on plutôt je m’habitue. J’aime la torpeur de l’été, cette période où tout ralentit, où la ville se vide, on a quelques fois l’impression d’être seul au monde comme dans le film, surtout lorsque l’on se retrouve avec des rues entières de magasins fermés. Moins de voitures aussi, ça j’apprécie. Cette année en plus, la chaleur et le soleil étaient au rendez-vous. C’était cool. J’en ai profité pour découvrir de nouveaux spots, en terrasse de préférence. J’ai découvert le Jardin Suspendu (qui a depuis fermé), un spot éphémère vraiment sympa, un rooftop de parking à deux pas de la porte de Versailles. J’ai squatté le lieu plusieurs fois dès son ouverture. Pour sa vue sur Paris, sur le Périph’ (si, si !), son jardin potager (où j’ai pioché des tomates 😉 ). Bon, mais tout ça c’est très bien, mais ça apparatient déjà au passé et ça ne vous dit rien de la speed list. Allez, c’est parti pour la sélection de rentrée, entre news et nouveaux lieux !

1. La collab’ inattendue. Je suis une petite fan des créations Isabel Marant. Un jour j’ai pu profiter des soldes de presse et j’avais acheté trois pièces. C’était mon kiff de quarantenaire, un peu comme maintenant avec Vanessa Seward. Alors pour en revenir à Isabel Marant, voilà que L’Oréal Paris nous fait le coup de la colla’ beauté avec une créatrice. Estée Lauder avait crée le buzz il y a deux ans, en lançant une 1ère collection make up très réussie avec Victoria Beckham (une autre créatrice dont j’adore le coup de ciseau, moins les prix !). La collection sera paraît-il « nomade » (hum… mais encore),  avec des essentiels pour les yeux, la bouche et l’éclat du teint. Comprendre : du très basique. Lancement officielle le 27 septembre lors de la Paris Fashion Week et du défilé de la créatrice. En vente dans les boutiques I. Marant, dans quelques corners L’Oréal Paris et sur le site de e-commerce.

2. Faire du sport enceinte. A l’époque où je suis tombée enceinte (ça va faire 17 ans en novembre), j’étais une grande sportive. Et la grossesse m’a à peine freinée. Jusqu’au commencement de mon congé mat’, j’allais à la salle. J’adaptais bien sûr, mais, je suis certaine que ça m’a aidée (même sans manger pour deux !) à ne pas exploser le compteur de la balance. Y’a pas de mystère… Voilà pourquoi je trouvais intéressant de vous parler de ce livre de Justine Andanson, vous qui êtes peut-être en train de vivre ce moment unique. Bon, quasiment jusqu’a la moitié du bouquin, c’est un peu « me, myself and I ». Normal, l’auteure est chroniqueuse télé et influenceuse.  Mais ensuite elle propose une série d’exercices, très inspirés du yoga, et plutôt faciles à intégrer si on n’est pas naturellement très sportive. Des routines à conserver après l’accouchement mais pas sans avis médical et séances de kiné périnéale au préalable. D’ailleurs, je prévois un post sur le fameux plancher pelvien prochainement. Fit Mum Tonique & en forme pendant la grossesse, Justine Andanson, SOLAR éditions.

3. Sauver les abeilles maintenant ! Nuxe et les abeilles, c’est une vieille histoire. La marque renforce son engagement dans leur protection. Après tout, le Baume Lèvres Rêve de Miel, l’un de ses produits best-sellers, n’est-il pas l’un des plus riches en produits de la ruche (Miel d’acacia, cire d’abeille, propolis) ? Nuxe parrainait déjà des ruches dans les Vosges. Dorénavant, elle devient mécène du Louvre. Eh oui, vous ne le savez peut-être pas, mais le Musée parisien abrite des ruches. Mais là, c’est carrément un jardin, le Jardin Raffet, que l’institution a décidé de réhabiliter pour y installer 400M2 de prairie fleurie et 6 ruches. Ce jardin, ouvert au public représente une occasion inespérée au pied d’un des plus beaux lieux de Paris de sensibiliser les citadins à la cause des abeilles.

4. Un soin pour bien commencer septembre. Avant les vacances, je vous avais proposé dans le post Voyage Immobile, de partir en Chine, enfin de façon holistique, grâce notamment au massage crânien Yang-Ju de la Maison du Tuina. Si vous sentez la pression monter, je vous le recommande en ce moment. Et sinon, pour se remettre d’aplomb, éliminer peut-être quelques toxines d’apéros estivaux ou tout simplement pour prolonger les bienfaits des vacances, rien ne vaut une ou deux séances de Vital Dome. Ce et appareil futuriste diffuse des rayons infrarouges à 360°. On transpire (non, ça ne brûle pas !), on élimine de l’eau, des métaux lourds aussi et la peau est paraît-il tonifiée (enfin à condition de cumuler les séances…). Effet anti-stress garanti. 39€ la séance de 40 mn. Pour trouver le centre le plus proche de chez vous, rendez-vous sur le site www.vitaltech-france.com

5. Plus qu’une parfumerie. Juliet Has a Gun, marque de fragrances de niche, ouvre sa toute première boutique à Paris. Les fans de Another Oud ou de Not a Perfume y retrouveront leurs jus préférés. Et elles pourront aussi y boire un café, un thé ou une coupe de champ’. Ambiance néons et graffitis, très night club privé. Ouvert du mardi au dimanche. 2 rue des Francs-Bourgeois, Paris 3 ème

 

Stressée moi ? Plus jamais !

Cette année, j’ai décidé que je n’avais plus aucune raison de me stresser. La rentrée ? Quelle rentrée ? Ma fille entre aujourd’hui en Première. Vu son allergie au travail, je devrais sacrément me stresser, mais non, j’ai décidé que l’école était dorénavant son problème. Ce n’est plus moi qui ait les cartes en mains, c’est elle ! J’évoque régulièrement les options orientation, boulot etc. avec elle, mais les réactions sont proches de zéro. Cette génération a une foi en elle absolument désarmante. Elle n’a peur de rien. L’avenir c’est encore tellement loin… et pourtant si proche. Pourquoi aurais-je peur pour elle ? Je ne peux pas bosser ses contrôles à sa place. Je préfère me dire qu’elle trouvera sa voie. Sachant qu’il n’y en aucune de royale, contrairement aux idées reçues ! Au train où vont les choses, de toutes les façons, qui peut prédire l’avenir ? Et puis pourquoi elle s’en sortirait forcément mal ? Peut-être fera-t-elle bien mieux que moi à son âge. En tous cas, je le lui souhaite. Donc ce dossier-là, je le jette, poubelle ! Et un poids en moins !

Pendant ces vacances, et surtout ce mois d’août où je n’ai pensé qu’à moi. « Autocentrage » intégral et croyez-moi, ça fait un bien fou ! J’avais envie de me reprendre en main, alors j’ai couru un matin sur deux chaque semaine, j’ai ajouté deux salutations au soleil et du renforcement musculaire avec des exercices de Pilates et des planches pour renforcer ma sangle abdominale car depuis quelques mois, j’ai remarqué une sorte de relâchement. Et comme je crains les méfaits physiques de la ménopause comme la peste… (souvenez-vous ce post spécial 50’s). Bon, en quelques semaines j’ai réussi à retrouver des abdos dignes de ce nom ! Donc, bah, j’ai plus qu’à continuer hein, no pain, no gain !

J’ai essayé de clore chaque session par 10 minutes de méditation. Bon là, je suis sérieusement à la peine quand même. C’est vraiment pas facile (avec le chat dans les pattes en plus, je vous raconte pas !). Je suis une absolute beginner. Ce n’est pas de la relaxation, ce que j’ai toujours cru. Donc je dois me déconditionner, « désapprendre » toutes ces idées fausses pour pouvoir comprendre ce que c’est et ensuite pouvoir la pratiquer. Je vais m’acharner car je sais que c’est ce qu’il me faut, en cette période cruciale de ma vie où j’opère une mutation professionnelle, sans doute la dernière.

Alors pour celles qui craignent de se faire aspirer par la spirale de la rentrée, et son lot de stress, d’épuisement, de nostalgie des vacances, voici la prescription du Dr Chantal #BeautyToaster, directement inspirée par mes rencontres de ces derniers mois.

Pour se faire une silhouette de rêve, sortir la tête des épaules et avoir cette posture fière et ancrée, direction Reformation où Cassandre et son équipe auront à coeur de vous transformer en quelques séances.

Pour cleaner sa routine beauté, direction le 9ème chez Awesome ou sur le site mygreenbrands.com pour dénicher les marques bio et naturelles les plus trendies et discuter avec Cécile qui est une vraie passionnée. On peut également aller shopper sur le site de Jolimoi.com

Pour débronzer sans avoir la peau terne, voire tachetée, je suis une grande fan du gommage Pépite de la Palmeraie de L’Odaïtès. Dommage qu’il n’existe pas pour le corps… A faire suivre de fluide Le Miracle de Miel d’Exertier . Le soir, quelques gouttes des Huilettes ne seront pas de trop !

Pour nourrir le corps dont la peau s’est bien desséchée sous la canicule, misez sur l’Huile Précieuse Nutritive de Kadalys. Elle assouplit la peau et la rend plus lumineuse. Pour les pieds qui ont un peu morflé aussi, le Baume Riche à Beijing de Latitude Paris est une bénédiction.

Et pour ne pas repartir sur de mauvaises habitudes, on s’oblige à pimper son breakfast au moins une fois par semaine, en piochant dans le livre Pimp My Breakfast de Lili Barbery. Perso, j’ai réalisé sa brioche 3 fois cette été ! C’était trop bon ! Je remets ça ce WE !

Vous sentez des petites tensions, des petites douleurs se manifester ça et là ? Ne les laissez pas s’installer. Elle sont sournoises et risque de vous pourrir la vie à plus long terme. Agissez ! Pour celles qui sont sur Paris ou même de passage, bookez une escale chez Cécile Cotten. Accordez-vous cette parenthèse. Je vais moi-même essayer de m’accorder un massage par mois, car je pense que c’est juste indispensable. La peau est un prolongement du cerveau, il n’y qu’à voir comment on se sent après un massage ! N’hésitez pas à réécouter Cécile épisode 21, vous comprendrez de quoi je parle.

Voilà, c’était ma petite pastille spéciale pour vous souhaiter une bonne rentrée. Et vous, vous faites quoi pour accueillir la rentrée avec sérénité cette année ? Savez-vous méditer et si oui comment avez-vous appris ? Les applis, bon ou mauvais plan ?

 

 

Qui l’eut cru ?

Je remercie Virginie (la maman de Poncho qui se reconnaîtra 😉 ) de m’avoir un jour accueillie avec cette question : comment ça va grille-pain ? On avait bien ri ! Fin janvier, je lançais mon podcast. Cette idée m’est apparue comme une évidence. C’était fin novembre 2017. Désormais, j’allais faire découvrir des marques, des créateurs, des concepts innovants à peine nés ou en train de se développer.

Pourquoi un tel sujet ? vous savez, c’est compliqué aujourd’hui pour une marque d’émerger dans un marché saturé qui paradoxalement n’a jamais été aussi dynamique. Pourquoi c’est si compliqué ? Parce que les cartes ont été rebattues ! Avant, une marque émergente pouvait compter sur le soutien de quelques magazines qui avaient encore l’amour du métier de journaliste (celui qui cherche l’info, la vérifie…). Et depuis quelques années, elle pouvait également compter sur le soutien de quelques blogueuses, enfin avant que quelque-unes ne vendent leur âme au diable et se retrouvent à faire exactement ce qu’elles reprochaient, pour quelques-unes avec une certaine violence, aux journalistes.

Mais, aujourd’hui, les cartes ont été rebattues. Pire (ou mieux ?), Instagram a renversé les cartes et la table avec. Désormais, les marques émergentes se fichent pas mal d’être dans tel ou tel hebdo ou mensuel. Ca flatte l’égo de sa créatrice ou de son créateur, mais au finish, ils savent très bien que ça ne leur apportera rien en terme de ventes. Beaucoup des gens que j’ai interviewé ces derniers mois m’ont confirmé ce que je pressentais depuis un moment déjà. Dorénavant, ils sont en prise directe avec leurs consommateurs. Plus besoin de dépenser des milles et des cents dans ces campagnes de pub que personne ne regarde. #quelquunlitencorelepapier ? D’ailleurs, la plupart des lectrices, de magazines féminins notamment, ne comprennent toujours pas l’utilité des pages de pub dans les magazines. Certaines les trouvent envahissantes, les arrachent quand elles sont trop épaisses (vu de mes yeux vus !) et même si tu pointes que sans pages de pubs, la presse féminine serait déjà morte, elles ne comprennent toujours pas. En fin de compte, entre la presse et les lecteurs en France, il y a toujours eu une sorte de grand malentendu.

Ok, donc j’en reviens à mon podcast. Quand je l’ai crée il y a quelques mois, il n’y en avait aucun sur la beauté en France (depuis je vous rassure, quelques-uns ont pensé que c’était une chouette idée… Ahahah 🙂 ). La plupart des gens s’imaginait certainement que ce n’était pas un sujet. Eh bien moi, j’ai pensé que oui et l’intérêt grandissant des auditeurs pour Beauty Toaster me le prouve chaque jour.

En février, premier mois entier de diffusion, Beauty Toaster avait atteint 2 340 écoutes et téléchargements (malgré un manque de soutien assourdissant). Un chiffre que je n’aurais pas atteint sans l’interview de Valérie Tribes du célèbre podcast Chiffon qui m’a fait décoller, c’est vrai. Les mois passent, les invités se succèdent… Aujourd’hui, Beauty Toaster dépasse les 7 000  écoutes en moyenne chaque mois ! Pour tout vous dire, dans le meilleur des cas, je pensais atteindre 500 écoutes en six mois. En juin, j’ai même dépassé les 10 000 (en grande partie grâce à l’interview de Lili Barbery). Donc pour un « truc » totalement inconnu il y a encore 9 mois, je suis plus que satisfaite. Alors merci à tous mes auditeurs, dont certains sont également des lecteurs du blog. En l’occurence, ce sont plutôt des femmes…

Mais il y a un soucis : pour la plupart des gens (je le constate autour de mois), la démarche podcast n’est pas des plus évidentes. Alors si vous désirez prêcher la bonne parole  Beauty Toaster autour de vous, voici comment faire. #pédagogiecestparti

Beauty Toaster, Beauty podcast, été

Le plus facile : sur Apple, il existe une appli podcast téléchargée qui permet d’écouter les podcasts répertoriés dans le catalogue d’iTunes, Apple Podcast. C’est le plus gros, aucun podcast digne de ce nom ne peut se développer sans en faire partie. Sachant qu’en plus c’est Apple qui a inventé le podcast… Bref, on tape dans la barre de recherche Beauty Toaster et on arrive sur le logo en deux temps trois mouvements. Ne reste plus qu’à télécharger pour pouvoir écouter BT partout même sans connexion.

Sur les Androïds (Samsung et consorts) : Le mieux est de télécharger Soundcloud. Et ensuite de chercher Beauty Toaster dans la barre de recherche.

Sinon, pour celles qui sont vraiment fâchées avec la techno, ici sur le blog, il y a l’onglet podcast dans le bandeau noir en haut à droite. Vous cliquez dessus et le tour est joué. Tout s’affiche, chaque mercredi à midi. Tous les épisodes y sont.

Pour celles qui ont un doute : Beauty Toaster le podcast est gratuit ! Si on vous demande de l’argent pour y avoir accès, fuyez car cet argent ne va pas dans ma poche, je vous le dis tout de suite.

Et puis j’en profite pour vous encourager à laisser des avis, des étoiles (sur iTunes en particulier) car c’est ce qui aide au bon référencement de Beauty Toaster. Beauty Toaster doit grandir et pour cela, il faut que d’autres auditeurs puissent y avoir accès. Et dans ce cas, le mieux ce sont les avis, et surtout les fameuses étoiles qui facilitent la découverte de BT dans le classement. Un grand merci pour votre soutien et merci d’en parler autour de vous. Ce succès, c’est à vous que je le dois.

Et vous, vous écoutez d’autres podcasts à part Beauty Toaster ? Perso, j’en écoute un sur le développement personnel que j’aime vraiment beaucoup Change Ma Vie, Outils pour l’Esprit, le féminisme avec l’incontournable La Poudre, l’entreprenariat au féminin avec Génération XX et j’aime aussi les histoires, alors Transfert et sa petite soeur Entre (une petite fille qui raconte son entrée dans l’adolescence). Sans oublier Chiffon, pour entendre parler mode autrement.

Et vous quels sont vos podcasts préférés ?

J’en profite pour lancer un appel : quels invités aimeriez-vous entendre Sur Beauty Toaster ? En attendant, profitez bien de vos derniers jours de farniente pour ceux qui cette chance et retrouvez Beauty Toaster (#onfaitcommeonadit 😉 ) Mercredi 5 septembre pour une nouvelle saison. Bonne rentrée à toutes et tous !